jeudi 18 juillet 2013
Et si on parlait des conditions de travail au cours d'une étude d'éco
Les querelles de la déréglementation du travail renaissent chez les géants du secteur commercial textile. Notamment auprès des salariés des Galeries Lafayette, qui dénnoncent les extensions d'horaires lors de rassemblement, recourant à l'appel de l'intersyndicale. Prônant pour slogans "Travailler plus pour des salaires ridicules, Non!", ainsi que "Salaire de misère = volontariat obligatoire!" déterminant bien le problème des projets d'ouverture érroné (fermeture magasin à 22h) et du travail le dimanche. Ces derniers donnant suite à la saturation du repos familial et du temps de loisirs et vie privée des salariés, la repousse des limites doit être cessée. La révolte pourtant persiste, l'enseigne Printemps Haussmann bercé dans le même cas, s'est ralié à la cause, malgré une diminution de leurs acteurs (Environ 1000 manifestants la 1ère fois, et 350 la seconde).
Travailler le dimanche concrétise un rapport de 200% du salaire, contrairement aux heures du soir effectuées, qui elles ne constituent pas un apport supplémentaire pour les salariés. Se voyant alors obligés de négliger leurs contraintes familiales. De plus les trajets de retour lors de la débauche peuvent varier d'1h30 à 2 heures. A cela, les enseignes justifient une demande croissante de la clientèle lors de cas exceptionel (fêtes de fin d'années, opérations promotionelles, etc.), afin d'acquérir des parts de marché nouvelles.
Alors est-il question de volontariat, ou simplement d'une source de dégradation des conditions de travail?
Etetage .mardi 21 février 2012, 23:33:50
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